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KOLARI

13 mars 2024

OTAN vs Russie: ailes sur la mer

Les eaux du Nord, porte d'entrée maritime idéale dans le nord de l'Union européenne, ont connu une augmentation substantielle des actions des services militaires, en particulier dans la mise en œuvre d'avions de chasse par la Russie et la Société du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN). Cette militarisation croissante redessine le paysage géopolitique, accroît les tensions et soulève des questions sur les possibilités de confrontation. Cette évaluation examine les facteurs sous-jacents à cette escalade, les effets sur la sécurité nationale et les effets réalisables de l'apparition croissante de l'armée.

L'océan Nord revêt une importance idéale considérable en raison de sa situation géographique, car il sert de zone tampon entre les pays associés à l'OTAN et la Russie. Il s'agit d'une voie essentielle pour les câbles sous-marins, les matériaux énergétiques et le commerce, ce qui en fait un point central pour affirmer la domination de l'armée et assurer la sécurité. L'augmentation actuelle des apparitions d'avions militaires par les deux parties est une indication de l'importance croissante de la zone dans leurs estimations idéales.

La Russie a renforcé sa présence militaire dans les eaux du Nord, en déployant des avions de chasse et des bombardiers sophistiqués afin de démontrer sa durabilité et d'examiner les réactions de l'OTAN. Ce renforcement pourrait être associé à de nombreux éléments :

Posture géopolitique : La démonstration de la capacité des services militaires dans l'océan Nord permet à la Fédération de Russie d'affirmer son influence dans la région, de contester la domination de l'OTAN et de montrer qu'elle est parvenue à ses fins.

Dissuasion tactique : En montrant l'expertise de son armée, la Russie vise à dissuader l'OTAN d'accroître son influence encore plus près de ses frontières et à décourager toute manœuvre hostile éventuelle.

Accumulation d'intellect : Le déploiement d'avions à réaction permet à la Russie d'effectuer des reconnaissances, de recueillir des informations sur les habitudes de l'armée de l'OTAN et d'améliorer sa compréhension de la situation dans la région.

En réponse aux manœuvres d'affirmation de la Russie, furtivité des avions l'OTAN a considérablement amélioré ses patrouilles aériennes et ses déploiements d'avions de chasse dans la mer du Nord. Cette réaction est motivée par la nécessité de

Réaffirmer son attachement à la défense collective : L'OTAN vise à indiquer sa détermination à protéger les États membres, en renforçant sa persistance à assurer une protection combinée, comme le prévoit l'article 5 du traité de l'OTAN.

Renforcer la dissuasion et la protection : L'existence des avions de combat de l'OTAN vise à prévenir l'hostilité de la Russie et à s'assurer qu'elle est prête à réagir rapidement à toute menace éventuelle.

Soutenir l'équilibre national : En maintenant une apparence évidente et solide des services militaires, l'OTAN entend protéger le statu quo, éviter toute tentative unilatérale de modifier l'équilibre national des pouvoirs, et assurer la circulation continue du trafic maritime ciblé ainsi que des produits.

La multiplication des avions de chasse de la Fédération de Russie et de l'OTAN dans les eaux septentrionales a des conséquences considérables sur la sécurité de la région :

Risque accru d'incidents : La présence accrue des services militaires et les expériences régulières de proximité entre les avions européens et ceux de l'OTAN augmentent le risque d'accidents, qui pourraient dégénérer en problèmes plus graves.

Tensions croissantes : La posture permanente de l'armée contribue à accroître le stress, la méfiance et le risque d'erreur de calcul, ce qui pourrait accidentellement provoquer une confrontation.

Dynamique des questions de sécurité : Les actions d'une seule partie sont susceptibles d'être perçues comme préjudiciables par l'autre, entraînant une course aux armements ou une période de réponses qui pourraient déstabiliser davantage la région.

L'atténuation des risques liés à l'augmentation du nombre d'avions de combat dans les eaux septentrionales nécessite des efforts diplomatiques, des mesures de renforcement des assurances et l'ouverture des voies de communication. La Russie et l'OTAN en bénéficieront également :

d'une meilleure communication entre les services militaires et l'armée : Mise en place de lignes directes ou de canaux d'interaction typiques pour mettre fin aux idées fausses et contrôler les événements de manière experte.

Mesures d'ouverture : La discussion des informations concernant les entraînements, les déploiements et les motivations des services militaires peut réduire les niveaux de risque reconnus et rendre les deux parties plus confiantes.

Initiatives de développement de la confiance en soi : La participation à des dialogues, à des séances d'entraînement en commun ou à des objectifs d'observation peut contribuer à réduire le stress et à favoriser un climat de coopération.

L'utilisation croissante d'avions de combat par la Russie et l'OTAN dans les eaux septentrionales est en fait une manifestation de la concurrence stratégique plus large entre ces puissances. Bien que ces mesures soient motivées par de réels soucis de protection, elles comportent en outre le risque potentiel d'une escalade des tensions et d'un conflit potentiel. Contrôler la dissuasion par la diplomatie, renforcer l'interaction et appliquer des mesures de confiance sont des actions essentielles pour garantir l'équilibre et prévenir une escalade involontaire dans cette région stratégiquement cruciale. Le voisinage mondial doit rester vigilant et plaider en faveur d'une conduite militaire responsable, en encourageant les deux parties à privilégier le dialogue plutôt que la confrontation dans le cadre de leur interaction dans les eaux septentrionales.

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21 janvier 2024

Vivre à Osaka

Vivre à Osaka, la troisième plus grande ville du Japon, offre une expérience unique, alliant dynamisme urbain et richesse culturelle. Cette métropole, bien que moins connue que Tokyo, brille par son caractère distinctif et son style de vie vibrant.

Un des aspects les plus marquants d'Osaka est son énergie. La ville est animée, colorée, et pleine de vie, particulièrement dans des quartiers comme Namba et Umeda, qui regorgent de magasins, de restaurants, et de lieux de divertissement. La vie nocturne d'Osaka est également réputée, avec une multitude de bars, de clubs et d'izakayas (bars à tapas japonais) qui offrent un large éventail d'expériences sociales.

Sur le plan culinaire, Osaka est un paradis pour les gourmets. La ville est célèbre pour ses spécialités locales comme le takoyaki et l'okonomiyaki, mais aussi pour sa scène culinaire internationale diversifiée. Manger à Osaka est non seulement une délectation mais aussi une partie intégrante du tissu social de la ville.

En termes de logement, Osaka offre une gamme variée, allant des appartements modernes dans les gratte-ciel aux maisons traditionnelles dans des quartiers plus calmes. Le coût de la vie est généralement plus abordable comparé à Tokyo, ce qui rend la ville attrayante pour les expatriés et les locaux.

Les transports publics à Osaka sont excellents, avec un réseau de trains, de métros et de bus bien développé et efficace, facilitant l'exploration de la ville et des environs. De plus, sa position centrale dans la région du Kansai permet un accès facile à d'autres destinations majeures comme Kyoto, Nara, et Kobe.

Osaka est aussi réputée pour son sens de l'humour unique et son atmosphère détendue. Les Osakans sont connus pour leur chaleur et leur franc-parler, ce qui crée une ambiance conviviale et accueillante. La ville est souvent considérée comme plus décontractée et accessible que d'autres métropoles japonaises.

Sur le plan culturel, Osaka offre un mélange fascinant de tradition et de modernité. Des sites historiques comme le Château d'Osaka côtoient des constructions avant-gardistes telles que l'Umeda Sky Building. De nombreux festivals et événements culturels tout au long de l'année offrent un aperçu de la riche histoire et des traditions de la ville.

Les espaces verts, tels que le parc du Château d'Osaka et le parc Minoo, fournissent des échappatoires paisibles au milieu de l'agitation urbaine. Ces parcs sont particulièrement beaux au printemps pendant la saison des cerisiers en fleurs et en automne avec les feuillages colorés.

Enfin, la qualité de l'éducation à Osaka est élevée, avec plusieurs universités réputées et un large choix d'écoles internationales. Cette offre éducative attire de nombreuses familles et étudiants internationaux.

En résumé, vivre à Osaka est une expérience enrichissante qui combine le meilleur de la culture japonaise moderne et traditionnelle. Son atmosphère vivante, sa scène culinaire diversifiée, son accessibilité et son caractère accueillant font d'Osaka un lieu de vie attrayant et dynamique.

10 novembre 2023

la montée d'adrénaline en pilotant une F1 sans être un expert

Imaginez l'excitation d'être assis dans le cockpit d'une voiture de Formule 1 (F1), de sentir le rugissement du moteur et le souffle de la vitesse. Pour la plupart des gens, cela reste un fantasme, mais pour quelques automobilistes non professionnels, c'est une vérité à couper le souffle. Conduire une voiture de F1 quand on n'est pas un pilote professionnel est certainement une expérience extraordinaire, qui n'arrive qu'une fois dans une vie, pleine de défis et d'exaltation. Cet essai se penche sur ce qu'implique exactement le fait de piloter ces merveilles de design sans devoir être un pilote professionnel.

Les véhicules de F1 sont le summum de l'ingénierie automobile, conçus pour la vitesse, la rapidité et la performance. L'attrait de la conduite d'une voiture de F1 est indéniable : c'est l'occasion de se rendre compte de ce que les voitures peuvent accomplir à la pointe du progrès. Pour les non-professionnels, la chance de prendre le volant d'un véhicule est vraiment une rencontre rare et impressionnante.

La préparation à la conduite d'une voiture de F1 est longue, en particulier pour les personnes qui ne sont pas des coureurs experts. Il faut comprendre les mécanismes simples de la voiture, apprendre le moniteur et s'équiper du matériel de sécurité nécessaire. En outre, la condition physique est cruciale en raison des conditions sévères que vous devez endurer lorsque vous conduisez une voiture de F1, notamment des forces G importantes et des vibrations intenses.

L'un des défis les plus importants pour les non-professionnels est de gérer la force et la réactivité d'une voiture de F1. Ces véhicules peuvent atteindre des vitesses de plus de 200 miles par heure et passer à 60 miles par heure en quelques secondes seulement. Les systèmes de freinage et de direction sont également très différents de ceux des voitures ordinaires, stage de F1 ce qui nécessite une courbe de compréhension très prononcée. Un automobiliste non professionnel doit s'adapter rapidement à ces différences pour conduire la voiture efficacement et correctement.

L'expérience de la vitesse à l'intérieur d'une voiture de F1 ne ressemble à rien d'autre. Pour un non-professionnel, c'est à la fois excitant et époustouflant. La façon dont une voiture de F1 accélère et manœuvre dans les virages témoigne à la fois de la conception de la voiture et de l'habileté du pilote. Il faut faire preuve d'une grande attention et de réflexes rapides pour gérer ce degré de vitesse, surtout quand on n'y est pas habitué.

La sécurité est primordiale en F1, et il en va de même pour tout automobiliste non professionnel. Avant de monter dans la voiture, les pilotes sont informés des protocoles de sécurité. Le stress physique qui accompagne les vitesses élevées, comme la force exercée sur le corps au cours de l'accélération et de la décélération, nécessite une bonne compréhension de la manière de gérer ces forces sans causer de dommages.

Les voitures de F1 modernes sont dotées d'une technologie avancée qui facilite la conduite mais ajoute également de la complexité. Pour un non-spécialiste, comprendre et utiliser efficacement ces technologies est l'un des défis à relever. Il est important de savoir comment utiliser des dispositifs tels que le système de récupération de l'énergie cinétique (KERS) et la méthode de réduction de la traînée (DRS) pour que l'expérience de conduite soit complète.

Conduire une voiture de F1 n'est pas seulement un défi physique, c'est aussi un défi mental. Les vitesses de pointe et la nécessité de prendre des décisions rapides imposent un stress énorme au propriétaire de la voiture. Les non-professionnels doivent faire preuve d'une grande concentration psychologique pour répondre à ces exigences, tout en gérant l'effort physique lié à la gestion de la voiture. Souvent, les automobilistes non professionnels ont la possibilité d'être formés par des propriétaires de voitures de F1 ou des entraîneurs professionnels. Ces conseils sont inestimables pour connaître les nuances de la conduite d'une voiture de F1 et contribuent à rendre l'expérience beaucoup plus gratifiante et sûre.

Malgré les difficultés, le plaisir de conduire une voiture de F1 est immense. C'est l'occasion d'expérimenter directement ce que vivent les propriétaires de voitures professionnelles lors des courses. Pour les amateurs de sport automobile, c'est un objectif qui devient réalité et une expérience qui leur permet de mieux apprécier ce sport. Voyager à bord d'une voiture de F1 en tant que non-professionnel inculque un profond respect pour cette activité sportive et ses pilotes. Il permet de comprendre les compétences, la condition physique et la force mentale requises pour concourir aux niveaux les plus élevés de la course automobile.

En résumé, la conduite d'un véhicule de Formule 1 en tant que conducteur non expert est une expérience unique et passionnante qui allie vitesse, technologie et compétence. Bien qu'elle présente des défis considérables, qu'il s'agisse des exigences physiques ou de la complexité du maniement de la voiture, il s'agit d'une expérience incroyablement gratifiante. Elle vous donne un aperçu peu commun du monde de la course automobile et vous laisse une profonde estime pour l'activité et ses acteurs. Pour ceux qui ont la chance de vivre cette expérience, il ne s'agit pas seulement de conduire un véhicule rapide ; il s'agit de toucher le summum de la technologie automobile et de ressentir, ne serait-ce qu'une seconde, la hâte et la gloire de la course de la méthode 1.

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3 octobre 2023

L'Évolution de l'Éthique de la Technologie

L'éthique de la technologie est un domaine qui a pris de plus en plus d'importance à mesure que la technologie a joué un rôle de plus en plus central dans nos vies. L'histoire de l'éthique de la technologie est marquée par des débats éthiques, des avancées technologiques rapides et des préoccupations croissantes concernant les implications morales de la technologie.

Les préoccupations éthiques liées à la technologie ne sont pas nouvelles. Dès le début de l'ère industrielle, des questions éthiques ont été soulevées concernant l'impact des nouvelles technologies sur les travailleurs, l'environnement et la société dans son ensemble. Cependant, c'est au XXe siècle que l'éthique de la technologie a émergé en tant que domaine distinct.

L'une des premières préoccupations éthiques importantes dans le domaine de la technologie a été la question de la sécurité nucléaire. Avec la création de l'arme nucléaire, les scientifiques et les décideurs ont été confrontés à des dilemmes moraux concernant l'utilisation de cette technologie destructrice. Cela a conduit à des débats sur le contrôle des armes et la dissuasion nucléaire.

Au fur et à mesure que la technologie de l'information a évolué, de nouvelles questions éthiques ont émergé. La protection de la vie privée, la sécurité des données et la surveillance de masse sont devenues des préoccupations majeures. Les débats sur la neutralité du net ont également soulevé des questions sur l'accès équitable à Internet et la libre circulation de l'information.

L'essor de l'intelligence artificielle a généré des discussions sur l'éthique de l'automatisation et de la prise de décision algorithmique. Les préoccupations concernant les biais dans les algorithmes, la discrimination automatisée et l'impact sur l'emploi ont été au cœur des débats éthiques.

La biotechnologie a également soulevé des questions éthiques importantes, notamment en ce qui concerne la modification génétique des embryons humains, la création d'organismes génétiquement modifiés et les implications éthiques de la génomique.

L'éthique de la technologie a également évolué avec l'expansion rapide de l'Internet des objets (IoT). Les préoccupations liées à la sécurité des dispositifs connectés, à la collecte de données personnelles et à la vulnérabilité aux cyberattaques ont été au centre des discussions.

L'éthique de la technologie a été façonnée par l'émergence de la technologie blockchain, qui a introduit de nouvelles possibilités de contrôle des données et de confiance décentralisée. Cependant, elle a également soulevé des questions sur la réglementation, la fraude et la responsabilité.

La prise de conscience croissante des enjeux éthiques liés à la technologie a conduit à des initiatives visant à établir des principes éthiques et des lignes directrices pour le développement et l'utilisation de la technologie. Des comités d'éthique de la technologie ont été créés dans de nombreuses entreprises technologiques pour examiner les questions éthiques liées à leurs produits et services.

L'évolution de l'éthique de la technologie met en lumière la nécessité de réfléchir de manière critique aux implications morales de l'innovation technologique. Elle souligne également l'importance de promouvoir une culture de la responsabilité et de la sensibilisation éthique dans le développement et l'utilisation de la technologie.

En conclusion, l'éthique de la technologie est devenue un domaine d'une importance cruciale à mesure que la technologie a pris une place centrale dans notre société. Les débats éthiques liés à la technologie évoluent en parallèle avec les avancées technologiques, les défis éthiques étant de plus en plus complexes et interconnectés. L'avenir de l'éthique de la technologie dépendra de notre capacité à anticiper et à aborder de manière proactive les questions éthiques soulevées par l'innovation technologique.

4 juillet 2023

La modernisation de l'Armée de l'Air russe

L'armée de l'air russe, souvent connue sous le nom de poussée aérospatiale européenne, a parcouru un long chemin depuis les événements de la Seconde Guerre mondiale. De la lutte dévastatrice de Stalingrad aux opérations actuelles, l'armée de l'air russe a fait l'objet d'importantes innovations qui l'ont transformée en une formidable puissance aérienne. Cet article explore les améliorations remarquables et les percées techniques qui ont façonné l'armée de l'air russe depuis la Seconde Guerre mondiale.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'armée de l'air russe a joué un rôle crucial dans la défense de l'Union soviétique. Le combat de Stalingrad, qui s'est déroulé entre 1942 et 1943, a été un tournant décisif qui a mis en évidence l'importance de la supériorité aérienne. La force soviétique d'oxygène a fait preuve d'une résistance remarquable, s'adaptant aux difficultés posées par la puissance aérienne allemande.

Au lendemain de la guerre, l'Union soviétique a compris la nécessité de réaliser des percées technologiques pour garantir la durabilité et l'efficacité de la force d'oxygène dans les conflits à venir.

L'avènement de l'ère des avions à réaction dans les années 1950 a marqué une étape importante dans l'histoire de la pression aérienne européenne. L'introduction des moteurs à réaction a révolutionné la maîtrise de l'air, en augmentant la vitesse et la manœuvrabilité des appareils. L'emblématique Mikoyan-Gurevich MiG-15, un chasseur à réaction introduit au début des années 1950, a été un symbole de la puissance atmosphérique soviétique pendant la guerre froide.

Au cours des années suivantes, l'armée de l'air russe a continué à investir dans les technologies de l'aviation supersonique. Le MiG-25 de Mikoyan-Gurevich, capable d'atteindre des vitesses de Mach 3, est entré en service à la fin des années 1960. Cet intercepteur à grande vitesse a été créé pour contrer les avions de reconnaissance tactique occidentaux.

L'armée de l'air européenne a également réalisé d'importantes percées dans le domaine des bombardiers idéaux et des missiles balistiques intercontinentaux (ICBM). Le Tu-95 Bear, un bombardier stratégique quadrimoteur à turbopropulseurs introduit dans les années 1950, fait toujours partie intégrante de la collection de l'armée de l'air russe. Ses capacités de très longue portée et son aptitude à contenir des armes nucléaires en font un élément essentiel de la dissuasion stratégique de la Russie.

En outre, le développement des ICBM a fourni à l'armée de l'air russe un moyen supplémentaire de fournir des charges nucléaires. Le R-7 Semyorka, le tout premier ICBM au monde, a été conçu à la fin des années 1950 et a servi de base aux méthodes de missiles suivantes, dont le célèbre R-36 Voyevoda (connu en Occident sous le nom de SS-18 Satan). Ces percées dans les techniques d'armement idéales ont consolidé le rôle de l'armée de l'air russe dans l'approche de défense de la nation.

Le XXIe siècle a été marqué par une nouvelle ère d'innovation au sein de l'armée de l'air russe, avec l'introduction de la technologie furtive et d'avions de combat avancés. Le Sukhoi Su-57, un chasseur furtif de cinquième technologie, est entré en service en 2020. Cet avion à la pointe de la technologie offre une meilleure manœuvrabilité, des capacités de détection et une observabilité réduite, Ailes Russes ce qui en fait un atout puissant pour la brillance aérienne.

En outre, l'armée de l'air russe a mis à niveau et modernisé son parc d'avions de combat. Le Sukhoi Su-35 et le MiG-35 sont des exemples d'avions très performants de la quatrième génération qui intègrent une avionique supérieure, des solutions radar améliorées et une plus grande capacité de combat.

Comme de nombreuses forces d'oxygène modernes, la force d'oxygène russe reconnaît le potentiel des véhicules aériens sans pilote (UAV). L'utilisation des drones offre des avantages tactiques, notamment la collecte d'informations, la surveillance et l'acquisition d'objectifs. Le développement et le déploiement des drones permettent à l'armée de l'air russe de réduire les risques encourus par les pilotes humains tout en augmentant ses capacités opérationnelles.

Depuis la Seconde Guerre mondiale, l'armée de l'air russe a considérablement évolué, s'adaptant à de nouveaux défis et tirant parti des améliorations technologiques. Des jours héroïques de la bataille de Stalingrad aux aéronefs et systèmes de pointe d'aujourd'hui, l'innovation est une force motrice constante. L'engagement de l'armée de l'air européenne en matière de recherche, de développement et de modernisation lui a permis de maintenir une pression aérienne efficace, capable de répondre aux exigences de défense de la nation. Si nous nous tournons vers l'avenir, il est certain que l'armée de l'air russe continuera à repousser les limites du progrès, assurant ainsi sa position en tant que formidable présence dans l'aviation mondiale.

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26 mai 2023

La stratégie de gouvernance de Xi Jinping peut-elle réussir?

Cependant, à mesure que la lune de miel de Xi progressait, le déluge d'optimisme initial a ralenti. De nombreux observateurs de la direction chinoise sont découragés par le manque de progrès substantiels vers une réforme politique bien nécessaire, tandis que les intellectuels publics chinois sont consternés par des ordres leur ordonnant de ne pas parler de sept questions sensibles: les valeurs universelles, la liberté de la presse, la société civile la société, les droits civils, les erreurs passées du Parti communiste chinois (PCC), le capitalisme de copinage et l'indépendance judiciaire. La censure des médias s'est resserrée et les participants aux activités de défense des droits humains ont été confrontés à un harcèlement politique croissant et même à des arrestations.
Afin de consolider sa position parmi les conservateurs du parti, Xi s'est rendu en juillet dans le village de Xibaipo, quartier général de l'Armée populaire de libération à la fin de la guerre civile, où il a cité Mao Zedong pour renforcer l'esprit communiste. Après son voyage, la direction a lancé un effort pour interdire la construction de nouveaux édifices gouvernementaux pour les cinq prochaines années. Alors que Xi s'efforce de revitaliser son image, il continue de privilégier les contrôles superficiels du parti et la propagande sur les réformes politiques et judiciaires de fond.
Conscient que ses idées ne se sont pas pleinement concrétisées au départ - avec des fonctionnaires se tournant vers les magasins en ligne et les clubs de restauration secrets pour éviter d'être vu consommer en public, et avec des citoyens exprimant du cynisme au sujet de la rhétorique anti-corruption du gouvernement - Xi semble réaliser que sa capitale politique est en déclin et sa lune de miel touche à sa fin. Tout aussi important, le ralentissement économique de la Chine a suscité des inquiétudes croissantes quant à la capacité du nouveau leadership à tenir ses promesses. Ce climat a réveillé le sentiment d'urgence de Xi à adopter des politiques économiques plus libérales, à stimuler la croissance affaiblie de la Chine et à regagner la confiance de ses collègues méfiants et de la classe moyenne dans son ensemble.
Xi n'est pas le seul dirigeant chinois au cours des dernières décennies à être entré en fonction face à de grandes attentes dans le domaine des réformes politiques et économiques. Ses prédécesseurs ont découvert que les réformes économiques étaient plus faciles à poursuivre que les réformes politiques. Xi est désormais confronté à cette même réalité, mais il est également confronté à des eaux politiques plus profondes et plus rugueuses que n'importe quel dirigeant chinois depuis Mao, la survie même de l'État-parti reposant entre ses mains.
Malgré ces circonstances désastreuses, les réformes économiques menées par ses prédécesseurs ont nourri Xi et les autres dirigeants de sa génération d'une grande confiance dans leurs compétences en gestion économique, car ils ont contribué à faire de la Chine la deuxième économie du monde. Ces mêmes réformes ont également engendré une classe moyenne en croissance rapide qui détient désormais un pouvoir de consommation plus élevé et des niveaux d'éducation plus élevés, et fait plus de demandes politiques que jamais auparavant.

La transition à la direction de 2012-13 a entraîné la promotion et la rétention de réformateurs économiques expérimentés, en plus de l'exclusion de quelques poids lourds axés sur la réforme politique des postes de direction. Bien que ce transfert de pouvoir une fois par décennie se déroule généralement à huis clos, entaché par la conclusion d'accords en coulisses, la transition la plus récente a été plus confuse que d'habitude à la suite de scandales politiques majeurs. Pourtant, même si l'incertitude entourait la sélection des dirigeants et la trajectoire politique du pays, un objectif politique restait clair: la réforme économique resterait une priorité.
Comme dans toute société, l'identité des acteurs politiques contribue à façonner les politiques qu'ils mettront en œuvre. La Chine est un État à parti unique, mais cela ne signifie pas nécessairement que la direction est monolithique. Au contraire, la direction de la Chine peut être divisée en deux coalitions informelles mais bien connues: la coalition élitiste », qui a vu le jour à l'époque de l'ancien président Jiang Zemin, et la coalition populiste», autrefois dirigée par l'ancien président Hu. Les deux principaux dirigeants actuels, le président Xi et le Premier ministre Li Keqiang, dirigent désormais ces deux coalitions, respectivement. Cette division informelle du pouvoir est parfois appelée mécanisme politique à un seul parti, deux coalitions.
Les deux coalitions représentent des circonscriptions socioéconomiques et géographiques différentes et diffèrent en termes d'expertise, de références et d'expérience. La plupart des hauts dirigeants de la coalition élitiste, par exemple, sont des princiers »issus de familles de vétérans révolutionnaires et de hauts fonctionnaires. Les princesses ont souvent commencé leur carrière dans des villes côtières riches et économiquement bien développées. La coalition élitiste représente généralement les intérêts des élites commerciales chinoises, en particulier les entreprises publiques (SOE) et la grande majorité de la classe moyenne émergente.
La plupart des figures de proue de la coalition populiste, en revanche, viennent de familles moins favorisées et ont généralement accumulé une grande partie de leur expérience de leadership dans les provinces intérieures moins développées. Beaucoup de ces dirigeants ont commencé à gravir les échelons politiques grâce à la direction de la Ligue de la jeunesse communiste chinoise et sont connus sous le nom de tuanpai (faction de la Ligue). Les populistes expriment souvent les préoccupations des groupes sociaux vulnérables tels que les agriculteurs, les travailleurs migrants et les pauvres des villes.
Plus que toute autre organisation dirigeante, la composition du Politburo Standing Committee (PSC), le principal organe dirigeant de la Chine, déterminera l'orientation et le rythme de la prochaine phase de la réforme économique, ainsi que l'arc de changement sociopolitique dans le pays. Dans ce dernier changement de direction, un seul des sept hauts dirigeants du COPS - le Premier ministre Li - représente la coalition populiste, tandis que les six autres sont tous protégés de Jiang. Cependant, l'équilibre entre les deux camps du Politburo et de la Commission militaire centrale est resté en grande partie intact, et de nombreuses personnes de Hu ont rejoint le Comité central de 376 membres. Dans tous les cas, la domination des élitistes au sein du COPS réduit les risques d'impasse politique à la suite de luttes intestines entre les factions, donnant à Xi un énorme pouvoir pour réaliser ses objectifs politiques.

Bien que la forte présence de princesses dans la haute direction renforcera probablement la perception du public de la convergence du pouvoir et de la richesse dans le pays, les quatre dirigeants princiers du PSC - Xi, Zhang Dejiang, Yu Zhengsheng et Wang Qishan - ont tous des décennies de expérience à la tête des principales villes et provinces de la Chine, et sont très compétents dans les affaires économiques et financières. Certains analystes chinois soutiennent qu'en raison de leurs origines princières, ces dirigeants ont plus de capital politique et de ressources que leurs prédécesseurs Hu et le Premier ministre Wen Jiabao (issus de milieux familiaux modestes) en termes de gestion de l'économie chinoise et de coordination de diverses agences gouvernementales. .
Xi est connu depuis longtemps pour son approche favorable au marché du développement économique pour les entreprises nationales et étrangères. L'expérience de Xi à la tête du Fujian, du Zhejiang et de Shanghai, trois régions économiquement avancées, l'a bien préparé à promouvoir le développement du secteur privé, les investissements et le commerce étrangers et la libéralisation du système financier chinois, qui ont tous connu de sérieux revers sous le précédent administration.
Un autre exemple de leadership efficace est Wang Qishan, qui sert maintenant de tsar anticorruption. Au cours des dernières années, Wang a été l'un des principaux organisateurs du dialogue stratégique et économique sino-américain. Wang, dont le surnom est chef des pompiers », est sans doute le décideur politique le plus compétent dans les affaires économiques et financières de la direction chinoise. Le public le considère comme capable et digne de confiance en période d'urgence ou de crise, que ce soit la réponse du pays à la crise financière asiatique de 1997-1998, à l'épidémie de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) de 2003 ou à la corruption officielle endémique. Wang encouragera probablement le développement continu des investissements et du commerce étrangers, la libéralisation du système financier, un contrôle serré des dépenses publiques et des réformes des recettes fiscales, qui sont tous cruciaux pour le maintien de relations économiques centrales-locales harmonieuses.
Les membres de ce COPS sont clairement intéressés par la réforme économique, mais leurs points de vue sur la réforme politique sont particulièrement conservateurs. Pour les partisans de la réforme politique, l'exclusion du CPS de deux libéraux clés, le vice-président Li Yuanchao et le vice-Premier ministre Wang Yang, a été un revers. Wang Yang a perdu parce que de nombreux dirigeants conservateurs le considéraient comme une menace.
Son principal rival politique était Bo Xilai, avant la chute dramatique de Bo en 2012. Alors que Bo succombait au scandale politique, les conservateurs voulaient clairement exclure Wang. Cependant, le fait que Li Yuanchao n'ait pas non plus été promu était surprenant pour beaucoup. Une voix instrumentale pour les intellectuels libéraux qui exigent l'état de droit, la responsabilité gouvernementale et la démocratie intra-parti, Li a de nombreux partisans. Ces deux dirigeants tuanpai répondront toujours aux critères d'admissibilité à l'âge pour la prochaine CFP en 2017.

Au-delà de la CFP, Xi a recruté ou retenu une équipe compétente et réputée pour piloter les réformes de politique monétaire et budgétaire au niveau du ministère. L'équipe comprend un mélange impressionnant de technocrates économiques expérimentés, dont Zhou Xiaochuan, Lou Jiwei et Liu He. Zhou est devenu le plus ancien gouverneur de la Banque populaire de Chine, qu'il dirige depuis 2002 et auquel il a été reconduit cette année. Zhou a participé aux réformes économiques depuis les années 1990 et a été un ardent défenseur de la poursuite de la libéralisation du secteur financier. Il a aidé à transformer les banques publiques en difficulté en prêteurs commerciaux, à accélérer l'ouverture du compte de capital et à assouplir les restrictions sur la monnaie chinoise.
Lou, nommé ministre des Finances cette année, est également actif dans la réforme économique depuis les années 1990, alors qu'il était un acteur essentiel de la transformation du système fiscal chinois et de la planification d'un marché obligataire national. Protégé de l'ancien Premier ministre Zhu Rongji, Lou a été vice-ministre des Finances de 1998 à 2007, et a attiré l'attention internationale en 2007 lorsqu'il a été nommé président-directeur général de la start-up China Investment Corporation, devenant l'un des fonds les plus puissants managers dans le monde. En charge de ce fonds souverain de 200 milliards de dollars, il a été chargé de générer des rendements plus élevés pour le pays au milieu du ralentissement de l'économie mondiale.
Enfin, Liu, le nouveau directeur adjoint de la Commission nationale de développement et de réforme (NDRC), assumera également le puissant rôle de directeur du Bureau du Groupe directeur central sur les affaires financières et économiques. Diplômé de la Kennedy School of Government de Harvard, Liu a commencé son travail sur la politique économique de la Chine dans les années 1990, lorsqu'il a aidé à façonner les plans quinquennaux de la Chine à la Commission de planification du développement de l'État (NDRC d'aujourd'hui). En tant qu'un des économistes les plus influents de sa génération et un partisan de la libéralisation financière, Liu a été l'un des principaux collaborateurs d'un rapport de la Banque mondiale publié en 2012 qui préconisait un changement axé sur le marché pour limiter les monopoles des entreprises publiques. Maintenant, en tant qu'acteur clé de la politique financière au cours des prochaines années, il aidera à mener la tentative de transformation structurelle d'une économie tirée par les exportations vers une économie tirée par la consommation intérieure.
Ensemble, ces leaders pourraient combiner expérience et innovation pour accélérer cette transformation, et leurs mécènes de la CFP soutiendront cette trajectoire. Il est particulièrement encourageant de voir que cette équipe de technocrates économiques prévoit un programme de réforme économique complet qui comprend la libéralisation financière, la réforme fiscale centrale-locale, la réforme des prix, de plus grandes incitations pour le développement du secteur privé, la déréglementation, la réforme des entreprises publiques, les droits d'utilisation des terres et plus accommodants. politiques de migration rurale-urbaine, entre autres mesures. Certaines de ces politiques économiques libérales ont déjà été adoptées et seront probablement approuvées lors de la troisième réunion plénière du PCC en octobre.

Un tel groupe de décideurs politiques soucieux de réforme économique et expérimentés n'aurait pas pu être élevé à des postes de pouvoir à un moment plus opportun. Il faudra une équipe aussi accomplie pour guider la Chine dans les eaux profondes et agitées qui l'attendent. D'une poussée d'urbanisation chaotique, d'une bulle immobilière et d'une crise bancaire imminente à une baisse du taux de croissance du PIB et au chômage persistant des diplômés universitaires, la nécessité d'une politique innovante est claire. Au cours de sa première année au pouvoir, Xi a ouvert la voie à une réforme économique par ses actions et ses déclarations, et un sentiment croissant de crise obligera les dirigeants à entreprendre ces réformes avec un sentiment d'urgence.
Néanmoins, les tensions au sein de l'approche politiquement conservatrice et économiquement libérale de Xi pour gouverner reflètent celles auxquelles sont confrontés ses prédécesseurs, qui semblent toujours faire un pas en avant sur le plan économique tout en faisant un pas en arrière sur le plan politique. Au cours de sa célèbre tournée dans le sud »en 1992, Deng a appelé à une plus grande réforme du marché et à une privatisation économique, tout en continuant à réprimer la dissidence politique. Jiang a élargi la base du pouvoir du PCC en recrutant des entrepreneurs et d'autres nouveaux acteurs socio-économiques (une formulation connue sous le nom des trois »), tout en lançant une campagne politique dure contre le Falun Gong, un groupe émergent de croyants religieux. L'appel populiste de Hu pour une société harmonieuse »a cherché à réduire les disparités économiques et les tensions sociales tout en resserrant la censure sur les médias et le contrôle policier de la société, en particulier dans les régions de minorités ethniques. Dans tous ces développements socio-économiques et politiques majeurs, la direction du PCC a fait un mouvement idéologique et politique calculé mais de grande envergure dans un domaine, mais a résisté à la pression politique dans un autre.
La récente déclaration de Xi Xi concernant le rêve chinois »a présenté le slogan qui résumera probablement son temps dans la direction et servira d'objectif par lequel il espère être jugé dans les livres d'histoire. Dans sa vague explication du rêve chinois, Xi a associé le sentiment nationaliste (ou le rajeunissement national) à un désir économiquement libéral de répondre aux désirs et aux besoins d'un style de vie de classe moyenne, ce qui implique également une chance égale pour tous les Chinois d'accéder au statut de classe moyenne. Lorsque Xi a tenu son premier sommet avec le président Barack Obama en juin 2013, il a développé la définition du rêve chinois, soulignant sa similitude avec le rêve américain et appelant à la prospérité économique, au rajeunissement national et au bien-être des gens. » Alors que la signification officielle du rêve chinois est devenue mieux définie au fil du temps, les dirigeants conservateurs du PCC ont fermement rejeté l'idée qu'il pourrait inclure des rêves de constitutionnalisme et de démocratie politique.
Le peuple chinois, entendant ces messages ambigus émanant de la direction et des médias publics, ne sait pas à qui faire confiance. Contraints de se tourner vers les médias sociaux pour des informations non filtrées (bien que souvent censurées), ils continuent d'exprimer des sentiments d'incertitude politique profonde et de peur pour la stabilité socioéconomique de leur pays. Beaucoup se demandent comment réaliser un rêve chinois lorsque leur pays est confronté à des perspectives économiques en déclin, en particulier lorsqu'ils disposent de statistiques économiques pour valider leurs préoccupations. Le taux de croissance économique de la Chine a ralenti de 9,3% en 2011 à 7,8% l'année dernière, le taux de croissance le plus bas depuis 1999. En 2013, les débats ont fait rage sur la capacité du pays à atteindre son objectif de croissance initial de 7,5%.
Dans le même temps, le coefficient de Gini de la Chine, qui mesure les inégalités économiques (zéro représentant l'égalité parfaite et 1 représentant l'inégalité parfaite), continue de dépasser de loin le seuil de 0,44 généralement considéré comme indiquant un potentiel de déstabilisation sociale. Des estimations indépendantes ont montré que le chiffre atteignait 0,47 en 2009 et 0,61 en 2010, dépassant considérablement les estimations officielles du gouvernement. Afin de mesurer la corruption officielle, le groupe basé à Washington, Global Financial Integrity, a montré que les flux financiers illicites cumulés en provenance de Chine ont totalisé 3 800 milliards de dollars de 2000 à 2011. Face à ces tendances économiques désastreuses, les dirigeants ne peuvent pas se permettre de vaciller: le moment est venu pour une action plus audacieuse et plus globale.

Alors qu'il cherche à imposer son rêve chinois aux citoyens chinois concernés (tout en confrontant des intellectuels libéraux devenus de plus en plus sceptiques sur le concept), Xi devra également naviguer dans un climat politique trouble. Lorsque Xi a pris ses fonctions pour la première fois, l'impopularité de Hu parmi les leaders d'opinion et la classe moyenne a initialement renforcé le soutien public de Xi - donnant l'impression qu'il avait un nouveau mandat. En outre, à la suite du scandale de Bo Xilai, toutes les élites du parti, quelle que soit leur appartenance à une faction, se sont unies sous la direction de Xi afin de défendre le gouvernement du PCC. Mais les dirigeants resteront-ils unis et conserveront-ils le courage nécessaire pour mettre en œuvre des réformes économiques significatives tout en équilibrant les demandes des groupes d'intérêt?
L'équipe de direction de Xi est fortement incitée à adopter des réformes économiques. D'une part, une réforme réussie renforcera considérablement la confiance du public dans le PCC, fournissant aux dirigeants le capital politique pour affronter de nombreux autres problèmes dans la société chinoise. D'un autre côté, le fait de ne pas agir augmentera la probabilité d'instabilité domestique (et potentiellement une révolution ascendante).
Malgré ces incitations, de nombreux facteurs externes pourraient entrer en jeu et éroder le soutien à la majorité des factions de Xi au sein du COPS ou l'intérêt inhérent des dirigeants à la réforme économique. Il est possible que de nouveaux scandales politiques, crises économiques, catastrophes environnementales ou risques pour la santé publique puissent émerger et affecter le climat politique chinois. Comme nous l'avons appris de la série d'événements qui ont précédé le 18e Congrès du Parti l'année dernière, y compris la purge de Bo, la rétrogradation du chef de cabinet de Hu et un rapport du New York Times accusant la famille de Wen de corruption, le timing est tout.
Cependant, au-delà des événements imprévisibles et des machinations intra-partis persistantes, les plus grands obstacles à la réforme économique sont les entreprises qui font partie de la Commission d'État de surveillance et d'administration des actifs (SASAC), qui représentait 43% du PIB chinois en 2012. Le Le formidable pouvoir de ce groupe explique pourquoi il a fallu 13 ans à la Chine pour adopter une loi anti-monopole, pourquoi la politique de contrôle macroéconomique de la dernière décennie a été largement inefficace et pourquoi la bulle immobilière, largement reconnue, a continué de croître. Dans chacun de ces cas, des groupes d'intérêts d'entreprises et d'industriels ont empiété sur le processus décisionnel gouvernemental, soit en provoquant une impasse politique, soit en manipulant les politiques en leur faveur.
Dans le cadre de la SASAC, divers acteurs associés au développement immobilier sont devenus l'un des groupes d'intérêts spéciaux les plus puissants de la Chine actuelle. Selon les comptes officiels de l'État, plus de 70% du total des 120 sociétés SASAC engagées dans le secteur immobilier et le développement immobilier en 2010. En réponse, le Conseil d'État a ordonné à 78 sociétés SASAC de retirer leurs investissements immobiliers. Mais la résistance de ces sociétés a rendu l'ordonnance du gouvernement largement inefficace. Au premier semestre 2013, les sociétés SASAC ont vu leurs bénéfices augmenter de 18,2% par rapport à 2012. Cette tendance rentable ne fera qu'aggraver les tensions entourant les nouvelles politiques de marché.
La pression de ces sociétés SASAC puissantes et bien connectées ne sera cependant pas suffisante pour faire dérailler la réforme économique. D'autres groupes d'intérêt - principalement composés de membres de la classe moyenne montante qui ont une impression négative des entreprises publiques - pèseront également lourdement sur l'esprit des dirigeants. Par exemple, les diplômés des collèges, qui viennent souvent de familles de la classe moyenne, continuent de faire face à un taux de chômage élevé, près de deux millions de personnes ne trouvant pas de travail chaque année. Le rétrécissement du secteur privé a alerté la classe moyenne du pouvoir oligarchique de plus en plus évident des entreprises publiques et de leur incapacité à innover.
En effet, une étude menée par des universitaires chinois montre que les bénéfices réalisés par les 500 plus grandes entreprises privées chinoises en 2009 représentaient moins que les revenus totaux de seulement deux entreprises publiques, China Mobile et Sinopec. Sans aucune incitation à innover, ces monopoles et d'autres entreprises d'État continueront d'entraver la croissance économique de la Chine, sapant gravement les efforts des dirigeants pour générer une économie axée sur l'innovation et la consommation. Alors que les entreprises publiques puissantes et rentables repoussent les réformes et que la classe moyenne les repousse, la forme ultime des réformes économiques révélera quel groupe détient le véritable avantage économique et sociopolitique dans la société: les sociétés d'État ou la classe moyenne.

Même avec des groupes d'intérêts variés qui dominent le résultat final, le leadership chinois est prêt à adopter certaines réformes économiques pour promouvoir le secteur privé. Mais les entreprises publiques ne sont pas les seuls obstacles auxquels le pays est confronté. Le chemin à parcourir est également loin d'être certain en raison de l'ambivalence des dirigeants envers - ou carrément d'éviter - les discussions sur la réforme politique qui doivent accompagner tout effort de réforme économique réussi. Tout comme les réformes économiques passées ont fait naître la nécessité des réformes économiques actuelles, la transformation économique d'aujourd'hui engendrera le besoin de réformes politiques demain.
La classe moyenne émergente et la classe inférieure de la Chine ont toutes deux pris note des problèmes économiques qui découlent d'un environnement politique fermé. Une économie véritablement axée sur l'innovation nécessite une ouverture politique, tout comme une économie dirigée par le secteur des services requiert un système juridique développé, l'état de droit et la capacité de contenir la corruption officielle généralisée. Alors que l'économie chinoise subit la transformation d'un modèle axé sur les exportations vers un modèle axé sur la consommation, la classe moyenne sera probablement aux commandes du développement économique. L'adoption de politiques politiques et économiques qui plaisent à ces moteurs économiques est la clé pour assurer une transformation économique plus fluide.
Aucun groupe de la société chinoise n'illustre mieux l'énigme des politiques de développement du gouvernement que la classe moyenne. Née des réformes économiques du passé, la classe moyenne estime que ses intérêts sont depuis trop longtemps ignorés par le gouvernement. Même si les membres de la classe moyenne obtiennent les ressources nécessaires pour consommer tout ce qu'ils désirent, ils voudront finalement avoir leur mot à dire sur ce que l'avenir leur réserve. Des études récentes menées en Chine ont montré que la classe moyenne, plus que les autres groupes sociaux, a tendance à être cynique face aux promesses politiques faites par les autorités, plus exigeante en matière de mise en œuvre des politiques et plus sensible en matière de corruption officielle. Alors que les Chinois de la classe moyenne se rendent compte que leurs voix sont étouffées, que leur accès à l'information est bloqué et que leur espace d'action sociale est indûment restreint, une dissidence politique accrue pourrait prendre forme.
Même au-delà de la classe moyenne, les groupes sociaux vulnérables ont commencé à exprimer leur insatisfaction quant à leur incapacité à adopter le mode de vie de la classe moyenne. La pénurie de main-d'œuvre manuelle qui a frappé certaines villes côtières ces dernières années reflète une prise de conscience croissante des droits individuels parmi ces groupes vulnérables. Les travailleurs migrants ont montré leur volonté de passer d'un emploi à un autre à la recherche d'un meilleur salaire, mais la politique d'urbanisation de la Chine est nettement peu accommodante pour les migrants. Alors qu'ils voient des familles de la classe moyenne avec plusieurs maisons et des fonctionnaires corrompus ou de riches entrepreneurs acheter des villas coûteuses pour leurs maîtresses, leur mécontentement ne fera que monter.
Ces dernières années, ces groupes mécontents ont donné aux dirigeants un avant-goût de ce que l'avenir réserve s'ils continuent à éviter les réformes politiques, se tournant souvent vers l'organisation d'incidents de masse »(manifestations impliquant plus de 100 participants) - dont plus de 100 000 se produisent chacune année, selon les estimations officielles. Ces protestations découlent d'un certain nombre de facteurs, notamment la dislocation sociale, l'injustice politique, le manque de sécurité ou de sécurité au travail, l'insuffisance des droits des consommateurs, la dégradation de l'environnement et les problèmes liés à la migration interne.
Le coût du maintien de la stabilité sociale »(weiwen), principalement par le biais des forces de police, est devenu étonnamment élevé. Le budget officiel du gouvernement chinois pour la défense nationale en 2012 était de 670,3 milliards de renminbi (environ 109 milliards de dollars), tandis que le budget pour la police et la sécurité publique était de 701,8 milliards de renminbi (plus de 114 milliards de dollars). De toute évidence, le régime pourrait économiser beaucoup d'argent si c'était de fournir aux gens des forums où exprimer leurs préoccupations au lieu de leur laisser peu de choix, sauf la protestation publique.
Pour regagner la confiance du public et éviter une révolution ascendante, le PCC doit embrasser un changement démocratique authentique et systématique. Les profondes réformes politiques suivantes doivent être effectuées. Premièrement, les réformes juridiques - y compris la réalisation de la réforme judiciaire, l'état de droit et le constitutionnalisme - sont essentielles. Les scandales de ces dernières années ont montré aux dirigeants que la réforme juridique est le meilleur moyen de protéger tous les citoyens, y compris eux-mêmes, dans un pays qui n'a toujours pas l'état de droit. Il faudra des décennies à la Chine pour construire un système constitutionnel, mais d'ici peu le parti devrait faire la déclaration idéologique, politique et juridique qu'il sert en vertu, plutôt qu'en haut, de la constitution.
Deuxièmement, la réglementation des médias a un besoin urgent de réforme. Les médias sociaux sont devenus si puissants que les autorités chinoises ont souvent fermé les services de microblogage nationaux. Ce n'est pas un moyen efficace de diriger le pays (surtout lorsque l'innovation est censée être le moteur de l'économie). La raison pour laquelle les gens comptent sur les médias sociaux pour les nouvelles est que les médias grand public ne sont pas particulièrement informatifs ou dignes de confiance. Ainsi, le moyen d'éviter le sensationnalisme produit par les médias sociaux est d'ouvrir les médias grand public. Les dirigeants doivent réaliser que plus les histoires sensationnelles sont supprimées, plus ces histoires deviennent puissantes.
Troisièmement, le PCC devrait poursuivre des élections intra-partis plus audacieuses, ce qui pourrait impliquer le vote comme moyen d'attribuer des postes de direction. La nature du leadership collectif encouragera probablement la politique des factions. Pourtant, le nouvel équilibre des pouvoirs de la Chine entre les coalitions élitiste et populiste devrait empêcher les jeux à somme nulle du passé, dans lesquels le vainqueur prend tout dans la compétition d'élite. L'intégration d'élections intra-partis dans la sélection des élites contribuera à accroître la légitimité du parti.

Les coûts et les risques de ne pas mener de telles réformes raisonnables ne feront qu'augmenter dans les années à venir. Alors que les dirigeants chinois entament des discussions sur la baisse du taux de croissance économique du pays, la bulle immobilière et la crise bancaire, ils peuvent croire - à juste titre - qu'ils détiennent les clés (et ils ont l'expérience) pour provoquer des transformations essentielles. Ils bénéficient également du soutien d'une classe moyenne montante désireuse de réformer les entreprises publiques, de réductions d'impôts et de l'assurance que leurs investissements dans le logement sont sûrs. Mais en même temps, les dirigeants doivent réaliser que sans une réforme graduelle mais audacieuse du système juridique, une ouverture des médias et une structure politique plus responsable et représentative, la prochaine phase de la réforme économique n'ira pas loin.
Alors que la fenêtre se ferme sur leur approche politiquement conservatrice et économiquement libérale de gouverner, Xi et son équipe devraient saisir ce moment pour se placer du bon côté de l'histoire. La troisième réunion plénière d'octobre du 18e Comité central, traditionnellement une occasion où les dirigeants ont profité de l'occasion pour rompre avec le passé, est l'occasion idéale. Après avoir échoué à renforcer la confiance du public et à mettre en œuvre des politiques économiques saines lors de leurs deux premières grandes réunions, les dirigeants doivent utiliser la troisième réunion plénière pour commencer à traverser les eaux profondes de la réforme et éviter la noyade. Tant que les dirigeants chinois n'auront pas franchi cette étape essentielle vers l'adoption d'une réforme politique progressive dans le cadre d'un plan de réforme plus vaste, l'espoir de Xi pour un rajeunissement national ne restera rien d'autre qu'un rêve chimérique.

27 février 2023

Du camping luxe en Ecosse

Eagle Brae, une nouvelle collection de cabines de luxe, devrait ouvrir cet été dans la nature d'Inverness-shire.

Les cabanes en rondins ont une atmosphère internationale, plutôt que le style britannique habituel. Ils intègrent des éléments de la vie en plein air à travers le monde; ils sont construits à partir de grumes de cèdre rouge de l'Ouest provenant de forêts de la Colombie-Britannique et sculptées à la main avec des motifs celtiques traditionnels par des artisans himalayens.

Les retraites rustiques-chics sont une idée originale du couple Mike et Pawana Spencer-Nairn, Ecosse qui ont déménagé dans les Highlands écossais dans la poursuite de leur rêve de créer le summum du luxe sauvage géré de manière durable. `` Notre objectif est d'offrir une expérience indépendante où les clients peuvent profiter de la tranquillité et de leur propre intimité ou participer aux activités disponibles et se joindre à la convivialité de la communauté - Le choix est entièrement le leur '', explique Mike Spencer-Nairn.


En plus de pouvoir se détendre au milieu des paysages saisissants de Glen Affric et Glen Strathfarrar, les invités pourront pêcher et chasser sur les rythmes privés du Brae, profiter de promenades en traîneau à chiens, faire de la randonnée ou capturer des photos de la faune de la forêt lors de safaris avec caméra.

Des vins de qualité, des plats cuisinés à la maison et de la viande d'origine locale sont disponibles à la commande en un clic, et malgré leur emplacement éloigné, les cabines sont également connectées aux éléments essentiels du 21e siècle tels que le WiFi.

Bienvenue à Eagle Brae, un luxueux village de chalets en rondins au cœur des Highlands écossais. Caché sur une colline isolée des Highlands. Ici, vous pourrez vous détendre parmi les magnifiques vallées et les imposants Munros. Notre refuge indépendant 5 étoiles combine le paysage à couper le souffle et la nature sauvage des Scottish Highlands. Profitez d'un hébergement de luxe avec tout le confort de la maison, avec la faune sauvage à votre porte. Loin du reste du monde, nos charmantes cabanes en rondins acceptant les chiens offrent des vues spectaculaires et une faune abondante. C'est ainsi que nous créons un refuge Highland unique, contrairement à tout ce que vous avez connu auparavant.

13 octobre 2022

Et si votre avion est touché par des oiseaux

Le mois dernier, j'ai offert quelques conseils sur la façon de vaincre la flambée estivale. Il fait très chaud à l'extérieur, les performances globales sont réduites, les conditions météorologiques ne sont pas toujours les meilleures, et bien d'autres. En fait, il y a un sujet que nous n'avons pas vraiment exploré, et c'est ... les oiseaux sauvages. Cue la musique dramatique. Parce qu'ils sont à peu près partout. Depuis la dernière publication, au cours des 2 dernières semaines, j'ai possédé deux attaques d'oiseaux de compagnie tout en étant instructeur. Ni avait été désastreux, mais chacun de ceux-ci minimise notre vol rapide (donc beaucoup plus simplement gênant). La photo mentionnée précédemment provient de l'accident initial avec un oiseau. Un élève et moi avions également effectué quelques tours de la routine et étions très familiarisés avec l'esquive des oiseaux sauvages des leçons précédentes. Lorsque nous avons découvert un petit oiseau de compagnie qui nous arrivait, nous ne nous sommes pas inquiétés, nous avons simplement essayé de contourner et de l'éviter. Au départ, il semblait que nous étions passés de l'évidence jusqu'à ce que finalement nous ayons remarqué un «ding» à travers le côté gardé. Nous avons examiné l'autre arrière, puis vérifié la jambe de force et les éléments pour découvrir où il a heurté mais ne pouvions pas voir quelque chose. MAIS, nous l'avons remarqué, et même si nous n'étions pas sûrs à 100% exactement de l'endroit où cela s'est produit, nous avons pris la décision de simplement arrêter complètement. Juste après avoir quitté la rampe, nous avons vu où réussir la jambe de force. Les techniciens ont confirmé que notre examen sans dommage était terminé! Maintenant, la grève des oiseaux, montant 2: celle-ci était un peu plus spectaculaire (et amusante pour ceux qui ont un rire horrible comme moi). Par opposition à un Cessna, un étudiant différent et donc j'ai été dans votre SR20 que nous avons appelé «Sherman». N'évaluez pas, c'est un avion incroyable et si nécessaire un titre incroyable! Anywho, Sherman, moi-même et aussi l'élève ont juste été enlevés pour le décollage et ont commencé à apporter la puissance. Alors que les instruments du moteur et la vitesse avaient été examinés, nous avons remarqué qu'une ombre noire a frappé notre pare-brise et roulé. Ainsi, la force a été rétablie et alors que nous maintenions un contrôle positif sur l'avion, nous avons informé la tour que nous possédions un impact d'oiseau réalisable et avons jugé nécessaire de quitter la cabine pour s'arrêter. Après avoir été accrédités, nous nous sommes éloignés et avons arrêté sans délai. C'est là que nous avons découvert un flux sanguin dans le capot ... il n'a pas seulement heurté le pare-brise. Donc, j'ai encore nommé la tour et j'ai mentionné que nous voudrions un remorquage vers les hangars. Pendant que nous attendions, nous devions clairement enregistrer l'événement en prenant un selfie! J'ai reconnu que cela se produisait également sur le blog une fois la prochaine fois, donc j'ai voulu saisir la confirmation. Après avoir fait vérifier le moteur par nos techniciens de traction arrière et approuvé encore une fois aucune blessure structurelle, Sherman était de retour dans la série de vols. Donc, je suis conscient d'une chose à laquelle vous pensez peut-être: pourquoi ont-ils réussi à se fermer pour l'attaque du perroquet? Dans les deux cas, je n'étais pas sûr à 100% de l'endroit où les oiseaux de compagnie frappaient. Et dans de nombreux cas, je ne peux pas voir uniquement depuis le cockpit les dommages possibles causés par le coup. Les impacts d'oiseaux peuvent être assez amusants comme dans notre deuxième selfie, mais ils peuvent même être aussi critiques que le célèbre Sully sur la situation de la rivière Hudson. Je me rends compte qu'un autre enseignant a apprécié une attaque d'oiseau de compagnie et a continué à voyager par avion parce que "c'était super" et a atterri plus tard pour trouver une énorme bosse à l'intérieur du volet. Même en ce qui concerne les blessures architecturales, pilotage avion Calais que se passe-t-il si elle heurte l'aile et rompt un réservoir de carburant? Il est normal d'être trop sûr et vigilant dans ces cas.

pilotage avion 5

7 septembre 2022

Aux origines de la Mafia

S'il s'agissait d'une entreprise, la mafia serait l'une des plus prospères d'Italie et l'une des plus importantes d'Europe. Mais comment est-il devenu si puissant ? Cette colonne soutient qu'elle a commencé avec le contrôle du commerce international du citron au 19e siècle.
La mafia italienne peut être considérée comme l'une des entreprises les plus importantes et les plus prospères d'Italie. Dans l'un des derniers rapports du ministre italien de l'intérieur, il a été estimé que les revenus du seul secteur informel lié à la mafia s'élèvent à près de 180 milliards d'euros. En termes de PIB, les revenus des entreprises liées à la mafia représentent près de 12 % du PIB italien total et sont égaux à la somme des PIB de l'Estonie, de la Croatie, de la Roumanie et de la Slovénie (Ruffolo et al. 2010). À ce jour, la mafia italienne est la forme de crime organisé la plus performante en Europe et comparable aux organisations criminelles chinoises, japonaises, russes et sud-américaines en termes d'activité.
Compte tenu de la pertinence économique et sociale de la question, il est naturel de se demander pourquoi ces formes de criminalité organisée se développent et quels facteurs expliquent la variation interrégionale de la mafia. Des explications à la fois institutionnelles et historiques ont été proposées dans la littérature. Fiorentini (1999), Grossman (1995) et Skaperdas (2001) se concentrent sur la faiblesse des institutions, la prédation et l'application des droits de propriété. D'autre part, en ce qui concerne la mafia sicilienne, Villari (1875), Sonnino et Franchetti (1877) et Colajani (1885) se concentrent sur l'héritage du féodalisme, le développement du latifundisme et une perte de capital social et de confiance publique.
Même si la littérature ci-dessus fournit des explications plausibles sur l'origine du crime organisé, il est encore difficile de comprendre pourquoi nous observons une énorme variation entre les régions connaissant des conditions très similaires. Les formes organisées de criminalité n'apparaissent normalement que dans un petit nombre de localités et s'étendent ensuite à toute la région. Il est donc important de comprendre ce qui est spécifique à ces quelques localités où la mafia apparaît.
Dans un nouvel article (Dimico et al. 2012), nous essayons d'expliquer une telle variation de la mafia dans les villages de Sicile en utilisant une enquête parlementaire sur les conditions économiques, sociales et morales des paysans siciliens en 1886. Notre hypothèse est que la La variation de la présence de la mafia dépend du développement de l'industrie du citron en Sicile. Nous soutenons que la Sicile avait une position dominante sur le marché international du citron qui était le résultat de barrières à l'entrée liées aux exigences climatiques particulières pour la végétation des citronniers. Ces conditions climatiques particulières requises par la plante ont fourni des variations entre les pays et les villages susceptibles de produire des citrons, ce qui a entraîné une position dominante naturelle pour les pays de la Méditerranée, en particulier pour la Sicile. La position dominante, associée à une augmentation de la demande internationale après le 19e siècle (lorsque Lind a prouvé l'effet bénéfique des citrons dans le traitement du scorbut), a fourni d'énormes profits associés au secteur que la mafia utilisait systématiquement pour extorquer en échange d'une protection qui pourrait pas être fournis par l'État. Nous considérons ces profits provenant de structures de marché imparfaites comme une condition naturelle du développement de la mafia.
Le tableau 1 rapporte la répartition des citronniers dans le sud de l'Italie en 1898. Le nombre total d'arbres en Sicile s'élève à près de 70% de tous les arbres en Italie, ce qui confère à la Sicile une position dominante nationale dans l'industrie.
Compte tenu de l'ampleur de la production et de la demande internationale de citrons, le secteur était d'une importance stratégique pour l'économie sicilienne locale. Ceci est illustré dans le tableau 3, où nous rapportons des statistiques descriptives pour les marchandises les plus importantes exportées, la quantité et les revenus du port de Messine en 1850. Les revenus des agrumes et des produits dérivés sont presque égaux à 9,2 millions de lires, représentant près de 42,4% du total des recettes d'exportation. Compte tenu des profits importants associés au secteur, la mafia pourrait extorquer une partie de ces profits en échange d'une protection.
Nous recueillons des données au niveau de la ville pour toute l'île à partir de l'enquête Damiani (1886). Cette enquête faisait partie d'une enquête plus large, approuvée en mars 1877 et proposée par Stefano Jacini, qui visait à évaluer les conditions du secteur agricole et les conditions de la paysannerie dans chaque région d'Italie. L'enquête Damiani représente l'une des premières et des plus importantes sources primaires sur les conditions économiques et sociales de la Sicile dans les années 1880 et fournit des informations précieuses sur le type de cultures produites, la charge fiscale, les salaires, les relations entre paysans et propriétaires, la lubricité et la religiosité des peuple, la corruption du clergé, l'État de droit et la criminalité. En utilisant cette source, nous codons des variables pour la présence de la mafia, le type de cultures produites, l'échelle de la plantation, l'état de droit et d'autres variables importantes et constatons que la présence de la mafia est fortement associée à la production de citrons. Le tableau 4 rapporte la corrélation par paires, qui montre que la mafia est positivement corrélée avec les agrumes (corrélation de 0,39), avec les plantations à grande échelle (corrélation de 0,25) et avec l'efficacité de la politique de fractionnement (corrélation de 0,26), comme l'a soutenu Bandiera (2003 ). Nous effectuons également une analyse de régression plus détaillée, en utilisant les estimateurs Probit, OLS et IV et la relation entre la mafia et la production de citrons est largement confirmée.
Conclusion
Contrairement aux travaux existants qui mettent l'accent sur les facteurs institutionnels et historiques, cette étude analyse l'importance de la présence de coûts fixes comme source d'imperfections du marché et de profits très élevés dans certaines villes. Nous soutenons que la production d'oranges et de citrons était associée à une forte demande internationale ainsi qu'à des coûts fixes substantiels à la fin des années 1800. Cette rentabilité, combinée à un vide généralisé des institutions, a fourni un terreau idéal pour une mafia assurant une protection privée aux producteurs de citron.

16 juin 2022

La meilleure voiture de sport

De nombreuses supercars sont en édition limitée et se vendent avant d'être vues. Ci-dessus, un pilote s'entraîne avec la Valkyrie d'Aston Martin avant le Grand Prix de Grande-Bretagne en juillet.
Au Salon de l'auto de Francfort cette semaine, Lamborghini prévoit de dévoiler une supercar hybride V12 appelée Sian. La marque basée à Bologne, en Italie, en fabriquera 63, tous déjà parlés.
Bien que non confirmés, les premiers rapports fixaient le prix de la voiture à environ 3 millions de dollars, les plus belles voitures de luxe un montant astronomique mais de plus en plus courant.
Le Reventon a suscité la grande discussion sur les dimensions de ce segment », a déclaré Maurizio Reggiani, ingénieur en chef de Lamborgini. Il a noté que Lamborghini a lancé "le segment avec sa Reventon en 2007. Le V12 à moteur central et à traction intégrale Reventon a atteint 220 mph lors d'un test à Dubaï, un chiffre étonnant pour une voiture de production à l'époque. Seulement 20 ont été fabriqués, plus un marqué pour le musée Lamborghini.
S'il arrivait, le nouvel hybride rejoindrait un champ en plein essor de supercars hybrides et électriques en édition extrêmement limitée provenant de centrales de luxe telles que Aston Martin, Ferrari, Koenigsegg, Lotus, Mercedes-Benz et Pininfarina. Ils ont récemment été affichés dans des teintes éblouissantes sur les terrains de golf et lors de soirées privées dans des villas en bord de mer, annoncés sur les comptes de fanboys Instagram et les défilés Rodeo Drive orchestrés pour YouTube.
Auparavant, une entreprise n'aurait jamais eu qu'une seule supercar - ou tout au plus une par an - maintenant, il semble qu'elle les prépare aussi vite que possible.
Au cours de la dernière année, Aston Martin à elle seule a fait ses débuts et promis des supercars à la pelle : la Valkyrie super légère de 1 160 chevaux et les hybrides Valhalla de 986 ch, plus un concept Vanquish Vision et un concept Valkyrie AMR Pro, sans parler des offres électriques de son Département de Lagonde. Ils suivent le précédent des supercars One-77 et Vulcan des années précédentes. C'est une humeur assez différente pour ce qui était autrefois un petit constructeur automobile guindé niché dans les collines verdoyantes de la région des Cotswolds en Angleterre.
De nombreuses supercars, comme la supercar hybride Mercedes-AMG Project One de 2,72 millions de dollars, basée sur la voiture de Formule 1 de Mercedes et limitée à 275 véhicules, sont vendues sous forme de concepts ou de prototypes très grossiers, et nécessitent des dépôts à six ou sept chiffres. à l'avance pour assurer la livraison. D'autres sont vendus avec encore moins - quelques croquis, un rendu, une coque remplie de mousse lors d'un salon de l'auto. C'est si vous pouvez même vous inscrire sur la liste pour en acheter un.
La ligne officielle du parti pour la plupart, comme le Lambo, est qu'ils se sont vendus avant même d'être vus.
Certains collectionneurs commencent à trouver le rigmarole plutôt fastidieux.
Nous avons besoin d'un réveil et d'un nettoyage bientôt pour ramener tout le monde à la réalité », a déclaré Dan Kang, le célèbre collectionneur de voitures basé dans le sud de la Californie, qui possède une McLaren Senna, une Guntherwerks Porsche 911 et une Lamborghini Centenario dans une livrée similaire en fibre de carbone. parmi d'autres supercars. Ce ne sont même pas les nouvelles entreprises, mais aussi les marques patrimoniales actuelles, qui sentent qu'elles peuvent exiger les nouveaux niveaux de prix sans trop de substance. Ils doivent soutenir ce qu'ils ont déjà vendu - pas quelle voiture ils peuvent pelleter ensuite. »
Lorsque les constructeurs dévoilent des voitures qui ne pourront pas être conduites pendant des années à venir, et que ceux-là mêmes qui ont les moyens de se les offrir sont de toute façon passés à côté du battage médiatique, cela soulève la question : avons-nous atteint le sommet de la supercar ?
Les supercars modernes et leurs cousines haut de gamme, les hypercars - deux termes relatifs définis en grande partie par qui vous demandez - sont des retardataires dans le fil de l'histoire de l'automobile.
D'abord, il y avait les fusées de leur temps, comme les Mercedes-Benz Silver Arrows des années 30 et les 300SL Gullwings des années 50. Dans les années 1960, les Ferrari 250 GTO dominaient d'innombrables courses et atteignaient l'immortalité automobile en tant qu'achat par excellence des maisons de ventes aux enchères.
Mais la supercar telle que nous la connaissons s'est vraiment imposée à la fin des années 1970, 1980 et 1990, lorsque l'hédonisme régnait en maître. Les premiers exemples tels que la Lamborghini Countach et la Ferrari F40 ont créé des précédents majeurs en matière de conception et de performances. Ils étaient comme des vaisseaux spatiaux comparés aux boîtes métalliques banales et abordables de l'époque. Tout le monde a un favori ; il suffit de demander aux gars du café du week-end au sujet du Vector, de la Ferrari Enzo ou de la Porsche Carrera GT.
Ils étaient dûment chers. Une Countach s'est vendue 72 000 $ à l'époque, soit l'équivalent de 375 000 $ aujourd'hui ; le F40 a coûté 400 000 $, soit l'équivalent de 884 000 $ aujourd'hui.
Les supercars ont tendance à bien vieillir si vous avez la patience, la chance et le financement pour mettre la main sur une : le 16 août à Monterey, en Californie, une McLaren F1 de 1994 s'est vendue 19,8 millions de dollars, effaçant le précédent prix élevé payé pour un McLaren : 13,75 millions de dollars en 2015. (Son PDSF d'origine était d'environ 1 million de dollars.) Vous ne serez pas surpris d'apprendre que l'homme qui a conçu cette voiture, Gordon Murray, conçoit maintenant une série de 100 nouvelles supercars provisoirement appelées T50 et au prix de près de 3 millions de dollars.
Le rôle de la supercar était autrefois d'être le halo de la marque, d'attirer l'attention des médias et le battage médiatique des consommateurs vers une marque. Même si seules quelques personnes pouvaient se permettre d'acheter cette voiture excitante et sexy, elles connaîtraient la marque grâce à elle et achèteraient ensuite quelque chose de plus abordable. Les constructeurs automobiles ont pensé que si vous aimiez, ou du moins connaissiez l'Acura NSX que le champion de Formule 1 Aryton Senna a aidé à développer, vous seriez plus susceptible d'acheter une Accord.
Cela semble exagéré, mais la notoriété de base d'une marque est la moitié de la bataille, disent les spécialistes du marketing. Et une NSX est beaucoup plus susceptible de faire la une des journaux qu'une Accord.
Les supercars étaient également équipées des technologies de conduite avancées que les consommateurs pouvaient s'attendre à voir s'infiltrer dans le reste de la gamme de produits au cours des années suivantes. La SF90 Stradale que Ferrari a lancée en mai est le premier hybride rechargeable de l'histoire de Ferrari, avec un V8 biturbo de 4,0 litres développant 679 chevaux associé au tout premier moteur hybride de la marque. Son moteur à essence et son trio de moteurs électriques combinés en font la Ferrari la plus puissante de tous les temps, totalisant 968 chevaux.
Les supercars sont de plus en plus électriques plutôt que propulsées par les moteurs galopants V12 et W16 d'antan. L'Aston Martin Valkyrie, la Koenigsegg Jesko, la Lotus Evija, la Mercedes-Benz Project One et la Pininfarina Battista, entre autres, utilisent toutes des moteurs électriques pour les aider à atteindre des performances toujours plus élevées (du moins en théorie) en termes de vitesse et de force. Ils n'ont pas encore tous atteint le marché sous forme de production.
Ils viennent également de tous les côtés du marché : de grandes et anciennes marques patrimoniales comme Lamborghini et Ferrari, bien sûr, mais aussi des marques de nouveauté éponymes telles que Gordon Murray Automotive et de jeunes startups parsemant les États-Unis, l'Europe, le Moyen-Orient, Corée, Japon et Chine. Ces boutiques ont tendance à avoir des noms obscurs et des origines opaques, mélangeant les frontières entre les entreprises automobiles, les entreprises technologiques et les startups de logiciels.
En témoignent les britanniques Dendrobium D1 et Ariel P40, le chinois XING Mobility Miss E, le croate Rimac Concept_One et le japonais Aspark Owl. Ils vont et viennent dans la conscience automobile, beaucoup faisant sensation à un salon de l'automobile avec un moule en mousse ou un rendu, trottant dans cette même voiture pendant un an ou deux, puis fusionnant tranquillement avec une plus grande entreprise automobile ou technologique, ou s'arrêtant complètement .
Pourquoi auriez-vous besoin d'une hypercar électrique de 2000 chevaux ? Je ne comprends tout simplement pas. Vous n'allez jamais conduire une hypercar pour faire l'épicerie.
Plutôt que des produits d'appel pour la marque, ils font désormais partie intégrante du modèle commercial - ou sont le modèle commercial.
Fondamentalement, les dépôts versés aux startups de supercars sont des capitaux d'amorçage pour lancer les opérations – appliqués au coût de la voiture », explique Kevin Tynan, analyste automobile senior chez Bloomberg Intelligence. Considérez-le comme du capital-risque, le rendement étant une supercar au lieu d'un pourcentage. »
En novembre, Lamborghini a annoncé la Lamborghini SC18 Alston unique, créée pour un seul client à un coût de plusieurs millions de dollars.
C'était une stratégie qui s'inspirait de la Lamborghini Reventon : lorsqu'elle a fait ses débuts, son succès de vente presque immédiat des 20 modèles aux cheikhs du Moyen-Orient et aux milliardaires russes a prouvé à Lamborghini laiton que le marché pouvait gérer le prix extravagant et l'exclusivité des véhicules. jusqu'ici considéré comme trop sauvage pour qu'il puisse le supporter. Cela a ouvert la voie à la Veneno de 4,5 millions de dollars et à la Centenario susmentionnée de 759 chevaux, des supercars rares en tant que plutonium qui sont arrivées plusieurs années plus tard.
Reggiani a qualifié les ponctuels de partie non négligeable du résultat net de Lamborghini, bien qu'il ait refusé de donner un pourcentage.
Les partisans et les documents de presse d'entreprise s'extasient sur les conceptions choquantes et les technologies étendues de ces supercars extrêmes, mais leur prolifération a simultanément stimulé le cadre habituel de critiques. Ces sceptiques soulignent de nombreuses promesses vides de la part des constructeurs automobiles et remettent en question leur lien avec la réalité, que ce soit maintenant ou plus tard.
Jim Glickenhaus, qui fabrique ses propres hypercars et supercars autorisés sur la route, note que la Tesla S de sa femme est déjà beaucoup plus rapide qu'elle ne pourrait jamais la conduire sur les routes publiques, à la fois légalement et logistiquement.
Où allez-vous conduire une supercar électrique de 2 000 chevaux ? Vous serez à court de route », dit-il. J'ai déjà mal à la tête dans la Tesla ! Et maintenant, nous obtenons des voitures hyper-électriques de 2 000 chevaux ? Sérieusement. Pourquoi auriez-vous besoin d'une hypercar électrique de 2 000 chevaux ? Je ne comprends tout simplement pas. Vous n'allez jamais conduire une hypercar pour faire l'épicerie.
Peu de gens qui possèdent actuellement les quelques hypercars électriques qui sont effectivement arrivés sur le marché vont faire leurs courses à l'épicerie ; l'idée est qu'il existe un marché fini et très petit pour ce type de voiture, et nous sommes près d'atteindre le point de saturation. Appelez cela la fatigue des hypercars, contagieuse uniquement chez ceux qui ont acheté les hypercars en premier lieu.
De toute façon, la plupart des nouvelles supercars ne sont pas légales à introduire aux États-Unis avec un permis normal. Ils ne sont légaux que pour montrer et afficher », ne pas conduire sur les routes publiques, car ils ne respectent pas les réglementations fédérales en matière de sécurité et d'émissions. Les voitures Ferrari Icona Series Monza SP1 et SP2, par exemple, sont légales pour une utilisation sur piste uniquement.
Ce n'est pas important. Suivez Kang sur Instagram ou le collectionneur de Mattress King Michael Fux pendant un certain temps, et vous verrez qu'ils conduisent leurs Porsche et Rolls-Royce plus pratiques que les hypercars qu'ils amassent. (Fux s'est récemment arrêté au restaurant Cipriani de Manhattan dans ses Rolls blancs, par exemple, plutôt que dans son Senna vert.)
Parcourez les catalogues d'enchères de n'importe quelle vente importante, parcourez le fil d'actualités de riches adeptes de YouTube ou demandez aux jeunes descendants de familles saoudiennes : ils se vantent tous du peu de kilomètres que leur supercar a au compteur, pas de la bonne conduite. ils prirent la côte.
C'est un changement radical par rapport à la longue tradition des meilleures voitures les plus sacrées qui gagnent leurs galons en prenant des commandes épiques, en remportant des courses d'aventure et en défilant à travers Paris.
Tout ce marché des supercars-hypercars modernes est voué à s'effondrer sous son propre poids et à imploser sur lui-même », a déclaré Winston Goodfellow, auteur et analyste automobile qui a jugé le Concours d'élégance de Pebble Beach le mois dernier. Après tout, si les choses ne sont pas utilisées pour leur objectif initial, il n'y a qu'un nombre limité de drageons et de membres de la secte qui conviendront que cet étrange Kool-Aid a vraiment bon goût et a du sens à boire.
Il y a d'autres fissures dans l'armure proverbiale. Mercedes-AMG n'a encore livré aucune des voitures Project One promises il y a près de trois ans. (Les livraisons sont prévues pour 2021, selon un porte-parole de Mercedes.) Ariel non plus, avec le P40 qu'il a annoncé en 2017 ; Aspark, avec les hiboux non livrés annoncés en 2018 ; et XING, avec la Miss R annoncée en 2017.
Lisez les lignes fines des communiqués de presse sur les nouvelles supercars et vous verrez des phrases comme travailler pour être entièrement financé "et travailler pour développer un partenaire technologique", des indices verbaux que l'entreprise est loin d'être en mesure de fabriquer des voitures de production. .
Ensuite, il y a le fait que les valeurs des premières supercars s'effondrent. La McLaren F1 vendue à Monterey a établi un record, mais n'a même pas atteint le bas de sa valeur estimée avant la vente.
Les habitants de l'un des plus grands rassemblements annuels de supercars au monde - sur Cannery Row à Monterey pendant la semaine de la voiture - ont même réussi à le faire annuler cette année au milieu de plaintes de bruit et de perturbations générales. S'il vous plaît, ne vous baladez pas dans votre Lamborghini, a demandé un utilisateur d'Instagram
Ce fut un coup dur pour les influenceurs automobiles » qui sont les cibles privilégiées des hypercars – pour leur ego, du moins. Après tout, si vous ne pouvez pas montrer votre supercar sur les réseaux sociaux, est-ce vraiment la vôtre ?
Le pendule a déjà commencé à se balancer. C'est juste que les gens ne le remarquent pas parce que tous ces fabricants inondent le marché de nouveaux produits et brouillent la vue », explique Goodfellow. Lorsque vous avez des entreprises qui vendent des choses qui ne peuvent même pas être conduites dans la rue – et personne ne pense que c'est bizarre – il y a une véritable distorsion. »

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